Depuis ce matin, le nouveau roman d’Hélène Koscielniak, Génération sandwich, publié aux Éditions L’Interligne est disponible en librairie.
Ce nouveau roman raconte l’histoire de Lianne Ménard. Celle-ci fait partie de la « génération sandwich », appelée à prendre soin simultanément de ses vieux parents et de ses enfants adultes. Entre les besoins de son père souffrant d’alzheimer, de ses enfants malheureux en couple et de sa petite-fille qui annonce son intention de devenir un garçon, Lianne se sent débordée et épuisée.
Culpabilité, liens familiaux, rapports intergénérationnels : avec ce roman, Hélène Koscielniak montre à nouveau son talent pour scruter le quotidien et traiter de problèmes sociaux actuels avec un réalisme désarmant.
Une auteure prolifique et inventive
Résidente de Kapuskasing au nord de l’Ontario, Hélène Koscielniak est une passionnée de lecture, d’écriture et d’actualités. Elle a occupé plusieurs postes en milieu scolaire. Lauréate de nombreux prix littéraires, elle poursuit son rêve, celui d’écrire et de faire connaître son coin de pays. Elle a publié sept romans et un recueil de nouvelles, depuis 2007, en plus d’un essai publié dans le magazine Liaison en 2016 faisant valoir la langue parlée en Ontario français : le tarois.
Le lancement aura lieu le 10 mars prochain à 13 h 30 au Club d’âge d’or de Kapuskasing, situé au 88, promenade Riverside. Il sera possible de se procurer une copie de Génération sandwich sur place. Outre les librairies, on peut acheter le roman de Madame Koscielniak sur le site leslibraires.ca.
Ne manquez pas les prochains articles du magazine culturel franco-canadien Boréal : nous vous offrirons une critique du roman très bientôt.
La relâche scolaire approche à grands pas. Vous cherchez bien entendu à organiser les activités les plus stimulantes pour ne pas que votre progéniture passe sa semaine à ne rien faire. Mais avez-vous prévu des moments de détente ? Parce qu’il faut décrocher un peu de la routine de l’école, mais se permettre quelques heures de plaisir tranquille peut aussi faire partie du programme d’activités !
Nous avons trouvé pour vous quelques suggestions de lecture pour vos enfants… Et quelques-unes pour vous aussi !
Littérature jeunesse
D’abord, L’Odyssée des neiges, de Pierre-Luc Bélanger. Publié aux Éditions David, le roman a remporté le prix Champlain 2020. Les commentaires des jurés, lors de la remise de prix, étaient très élogieux. Ils ont souligné « la qualité et l’originalité de cette histoire ainsi que la profondeur des thèmes abordés et des émotions suscitées par le récit. » Il s’agit selon les membres du jury d’un « roman universel, qui brille par la richesse des personnages, [et qui] saura sans aucun doute capter l’intérêt des lecteurs adolescents, qu’ils soient de grands ou de moins grands lecteurs. »
Ensuite, pour les 14 ans et plus, le roman de Micheline Marchand Perdue au bord de la baie d’Hudson, publié aux Éditions David. Le roman raconte l’histoire de Zoé, qui quitte Ottawa et se rend à Churchill au Manitoba, afin de mieux se retrouver. Elle y découvrira sa propre résilience et sa force pour affronter la vie. C’est une histoire de découverte de soi, de quête identitaire, le tout sur fond d’amitié, et qui plaira certainement aux adolescents.
Enfin, les Éditions L’Interligne proposent un roman pour les 8 à 12 ans : Aloha, hola et salut de Caroline, de Rosemary Doyle. C’est le deuxième de la série, qui comprend aussi Les voyages de Caroline. Ainsi, dans cette nouvelle aventure, on peut suivre Caroline alors qu’elle et sa famille déménagent à Séville en Espagne, puis en Provence. Caroline organise de plus une fête hawaïenne, faisant découvrir cet endroit magnifique aux lecteurs. On trouvera un lexique à la fin du livre, expliquant les mots en langue étrangère.
Pour papa et maman
Pour les adultes, Isabelle Kirouac Massicotte propose une incursion dans le monde des mines. Son essai Des mines littéraires, publié chez Prise de parole, explore l’environnement minier du nord de l’Ontario, et sa manière de façonner l’environnement littéraire.
Cet ouvrage a remporté le prix Champlain volet adulte. Selon le jury, « au-delà de la spécificité de ses thèmes qui comprend entre autres la nordicité, le labeur et la création d’un monde neuf, Des mines littéraires tente de répondre à ce que c’est que d’habiter un territoire et d’y appartenir. »
Ensuite, les Éditions David vous offrent Farida, le troisième roman de Monia Mazigh. L’autrice « rend ici hommage à une génération entière de femmes qui ont marqué l’histoire récente de la société tunisienne et qui nous forcent à revoir nos vieux clichés sur l’ignorance, l’oppression ou la soumission des femmes arabo-musulmanes », selon la description de la maison d’édition.
En poésie, Prise de parole nos propose Ce qui reste sans contour, de Sonia-Sophie Coudreau. On assiste, dans ce recueil à la fois personnel et universel, à l’évolution d’une jeune femme appelée à se reconstruire par l’écriture. En reprenant contact avec sa mémoire corporelle, la femme établit un dialogue avec l’autre partie en elle et parvient à transcender l’abus dont elle a été victime.
Le recueil s’inscrit dans une réflexion sur le rôle des procédés narratifs dans la redéfinition d’un sujet touché par un événement traumatique. Il rend hommage à la résilience de l’individu face à la violence ainsi qu’au pouvoir thérapeutique de l’art.
Enfin, Pierre-Raphaël Pelletier nous offre un récit poétique racontant les expropriations du Vieux-Hull afin d’y construire le centre-ville moderne d’aujourd’hui. Les dépossédés du Vieux-Hullest publié aux Éditions David.
Tous ces livres sont disponibles sur le site du REFC, qui sera aussi présent au Salon du livre de l’Outaouais du 27 février au 1er mars. Vous pouvez aussi les commander chez les éditeurs à partir de leurs sites Internet, ou chez votre libraire français préféré.
En novembre dernier, Boréal a eu le bonheur de rencontrer Jean Boisjoli, lors du Salon du livre de Montréal. Nous avons ainsi discuté de son dernier roman, Moi Sam, Elle, Janis.
Il s’agit d’un roman coup de poing, à la limite du polar. Il n’y a pas d’enquête criminelle et l’accusé est bien défini. Mais il faut répondre à une question essentielle au procès qui suivra : est-ce que l’accusé est responsable de ses gestes. Sam est accusé de trois meurtres, mais son avocate demande une évaluation psychiatrique afin de déterminer s’il est conscient d’avoir commis les crimes dont on l’accuse.
Le roman se passe en entier dans le bureau du psychiatre chargé de l’évaluer. On a donc affaire à un pucké de la vie, qui tombe amoureux d’une autre puckée de la vie. Une histoire pathétique. Mais ces deux personnages, Sam et Janis, sont tourmentés par leurs propres démons, qui les hantent au point où ceux-ci font véritablement partie de leurs vies. Le lecteur se sent réellement habité par Sam, par ses émotions, par sa psyché un peu déboussolée. Le passé de Sam, c’est comme une caverne sombre et lugubre, l’antre de la bête, et le roman nous fait entrer dedans à pieds joints.
Le passé au service du romancier
Avant d’être écrivain, Jean Boisjoli a été journaliste et avocat. Il s’est beaucoup inspiré de ces métiers, mais aussi de son enfance passée à Saint-Boniface pour écrire ce roman. Sans entrer dans les détails, il avoue ceci : « Ce qui m’a sauvé, ce sont les mots. C’est ce qui a guidé ma carrière, soit en tant que journaliste ou avocat, maintenant dans l’écriture, c’est le fil conducteur de ma vie, les mots. »
Son premier roman, La mesure du temps (Éditions Prise de Parole, 2016), retrace les souvenirs d’un sexagénaire qui retourne dans sa ville natale pour renouer avec ses origines. Ce roman poétique au rythme lent suit les traces de l’enfance de l’auteur, bien que ce soit un roman de fiction. Il a d’ailleurs remporté le prix Trillium en 2017. Avec Moi, Sam, Elle, Janis, nous nous trouvons dans un univers complètement différent.
Cette fois, c’est le bagage de l’avocat qui prend le dessus. Mais Monsieur Boisjoli ne s’est pas limité à ses propres expériences : il a consulté des amis avocats, et des ouvrages, aussi, qui traitent de l’aliénation mentale ; de ce qui fait qu’une personne peut avoir commis un crime horrible sans en être responsable.
Un roman bien ficelé
Moi, Sam, Elle, Janis est écrit dans un style plutôt direct, sans fioriture. Le quartier de Vanier, à Ottawa, y est presque un personnage en soi, le chemin de Montréal, en particulier. Mais les descriptions ne prennent jamais toute la place. Nous sommes vraiment dans l’action des personnages, actions qui nous font les connaître et les apprivoiser. On assiste à un crescendo d’émotions à travers les actions de Sam, crescendo qui a pour effet de rendre le lecteur sympathique à sa cause. Il est forcément innocent, c’est certain. Du moins, on y croit ! Jusqu’à la toute fin, où le lecteur se trouve déstabilisé devant la conclusion du psychiatre. Alors : coupable, ou non coupable ? Il faut le lire pour tirer ses propres conclusions.
Moi, Sam, Elle, Janis est disponible en librairie, de même que sur le site des Éditions David.
Originaire de la Saskatchewan, Marie-Claire Marcotte est une comédienne, auteure et traductrice. Au fil des ans, elle a remporté plusieurs prix pour ses diverses productions. Sa pièce Peau, publiée aux Éditions L’Interligne en 2016, a remporté le prix Jeanne Sabourin de Théâtre Action. Ses séries-web On the Heated Floor et Running with Violet ont remporté respectivement les prix Meilleure série au festival Sunscreen et Meilleure production au festival Web International Trophy.
Sa plus récente pièce, publiée elle aussi aux Éditions L’Interligne, s’intitule Flush. Dans ce drame à l’humour lugubre, Corinne cogne à la porte d’un petit immeuble d’appartements délabré, où habitent Marthe, Fred et La Petite. Le poisson rouge qu’elle a apporté en cadeau vient tout juste de mourir de froid. Elle devra redoubler d’efforts si elle tient à s’incruster dans cet univers étrangement familier.
Bientôt présentée au Théâtre français de Toronto et à La Troupe du Jour de Saskatoon, la pièce Flush révèle des personnages tranchants et tendres, écrasés par un choc terrible, qui n’ont d’autre choix que de s’enfoncer ou d’apprendre à aimer.
Flush est disponible en librairie dès aujourd’hui. Vous pouvez aussi commander en ligne sur le site des Éditions L’Interligne.
L’APCM annonce l’annulation du festival Quand ça nous chante, conséquence directe des moyens de pressions des enseignants en milieu scolaire. L’organisme, qui chapeaute ce festival, a émis un communiqué faisant écho à celui émis plus tôt par le Conseil Scolaire Catholique Franco-Nord.
Après 9 mois de travail entre l’APCM et le comité hôte de l’école Algonquin, c’est avec tristesse que le Conseil scolaire catholique Franco-Nord annonce l’annulation de la 17e édition du festival « Quand ça nous chante ». Cette décision a été prise suite à une concertation des conseils scolaires francophones de la province. Lors de cette discussion, il a été avancé de manière unanime que la participation au festival devenait de plus en plus difficile avec les pressions actuelles, notamment avec la relève du personnel de suppléance, la participation aux activités parascolaires et également à la vue du nombre d’écoles qui ont retiré leur participation au festival, souligne le communiqué officiel du Conseil scolaire.
L’APCM comprend cette décision qui est vue comme sage, argumentée et mûrie. Elle permet surtout de protéger tous les protagonistes impliqués dans le processus d’organisation du festival et de limite le risque de pertes financières à des structures/organismes déjà fragiles financièrement. Cette décision met également fin à une période d’incertitude inconfortable.
Conséquences directes
Les conséquences de cette décision sont nombreuses et les causes commencent par une politique d’austérité et une série de coupes budgétaires qui conduisent inéluctablement à une grève du personnel enseignant en Ontario.
Mais voici l’illustration concrète des répercussions directes d’une telle décision :
• L’annulation pure et simple de 27 contrats d’artistes qui devaient performer ou donner des ateliers pendant le festival.
• L’annulation d’une entente de service auprès d’un traiteur local de North Bay qui devait nourrir 350 personnes, pendant 4 jours, 3 fois par jour.
•L’annulation d’une réservation de 20 chambres dans un hôtel de North Bay à 140$/nuit pour 4 nuitées.
• L’annulation d’un contrat de service auprès d’une entreprise de navettes locale (bus jaune) censée transporter les participants d’une salle à une autre.
• L’annulation d’un contrat de service de techniciens (son, éclairage, scène) pour qui le festival Quand ça nous chante est un rendez-vous annuel.
• L’anéantissement de 9 mois de travail pour les organisateurs du festival (APCM + Comité hôte).
Outre les conséquences financières désastreuses qu’implique l’annulation du festival, le bilan moral est tout aussi incommensurable.
À commencer par les bénévoles, le comité hôte du festival, Le Centre culturel “Les compagnons des Francs Loisirs”, les élèves de l’école Algonquin de North Bay, les parents d’élèves, et le personnel accompagnant… qui se faisaient une joie de recevoir le festival et d’impliquer la communauté de North Bay dans les festivités…
Mais surtout les 304 festivaliers et accompagnateurs des 29 écoles publiques et catholiques inscrites, à qui l’APCM annonce que malheureusement les 6 mois de travail et de répétitions de leurs spectacles qu’ils allaient présenter (pour la plupart en parascolaire), furent vains.
Le festival reviendra l’an prochain, plus fort que jamais. L’APCM émet le souhait d’une édition 2021 encore plus grandiose !
Les organismes partenaires du prix littéraire Champlain ont le plaisir d’annoncer les noms des finalistes retenus par les jurys des volets jeunesse et « adulte ».
Créé en 1957, le Prix Champlain vise à souligner la vitalité et l’excellence de la littérature franco-canadienne. Pour la première fois cette année, le prix Champlain couronnera simultanément un lauréat pour le volet « adulte » et un lauréat pour le volet jeunesse; les deux titres lauréats seront annoncés à la fin du mois de janvier.
Le Prix Champlain 2020 s’accompagne d’une bourse en argent de 3 000 $ remis à chacun des lauréats. Le lauréat du volet jeunesse participera à une tournée dans les écoles organisée par Communication-Jeunesse, tandis que le lauréat du volet « adulte » remportera, en plus de la bourse, une résidence d’auteur d’un mois à la Maison de la littérature de Québec. De plus, les deux auteurs seront invités à participer aux Rendez-vous littéraires du Centre de la francophonie des Amériques.
Catégorie « adulte »
Pour la catégorie « adulte », l’édition 2019 couronnera un ouvrage parmi l’ensemble des genres littéraires, dont le roman, la nouvelle, le théâtre, la poésie, le récit et l’essai, publié entre le 1er juillet 2018 et le 30 juin 2019. Quatre œuvres ont particulièrement retenu l’attention du jury. Il s’agit (en ordre alphabétique) de L’Isle aux abeilles noiresd’Andrée Christensen (Éditions David), Des mines littérairesd’Isabelle Kirouac Massicotte (Éditions Prise de parole), Poupée de rouillede David Ménard (Éditions L’Interligne) et Roadkillde Lex Vienneau (Éditions Perce-Neige).
Le jury a souligné la minutie et la grande qualité de la recherche derrière le roman L’Isle aux abeilles noires, dans lequel « l’artiste utilise toutes les facettes de son art pour livrer aux lecteurs et lectrices un roman captivant, intrigant et sérieux. » L’essai Des mines littéraires a impressionné par l’approche rigoureuse de son propos et la limpidité du traitement de celui-ci. « L’ouvrage, bien structuré et richement documenté, investigue son sujet en profondeur et propose une lecture éclairée qui rend compte de toute la dimension des mythes fondateurs et de ses influences sur la communauté. » Quant à lui, le recueil de poésie Poupée de Rouille « mêle habilement la fiction aux faits » et développe un propos sensible et fort habile sur la question de la santé mentale dont l’originalité a su plaire aux membres du jury. Enfin, le jury a qualifié d’« audacieux et de décapant » le langage du recueil de poésie Roadkill, dans lequel « la poète traite avec beaucoup de perspicacité d’une relation amoureuse, qu’elle met en parallèle avec la barbarie commise sur un lièvre tué sur la route. »
Catégorie « jeunesse »
La catégorie « jeunesse » récompensera une œuvre publiée entre le 1er juillet 2017 et le 30 juin 2019. Les membres du jury ont retenu trois titres finalistes (en ordre alphabétique) : L’Odyssée des neigesde Pierre-Luc Bélanger (Éditions David), Les Acmaq : Le secret de la vieille Madouessede Diane Carmel Léger (La Grande Marée) et Promesse à un jaguarde Karen Olsen (Éditions de la Nouvelle Plume).
Les membres du jury ont souligné la profondeur des thèmes et l’universalité du propos de L’Odyssée des neiges. Promesse à un jaguar a convaincu par l’originalité de son texte de ainsi que l’importance des thématiques abordées dont la marginalisation, la protection de l’environnement. Quant à lui, le premier tome des Acmaq de Diane Carmel Léger saura captiver les amateurs de récits fantastiques. Son vocabulaire accessible et ses personnages attachants ont conquis les membres du jury.
Le Regroupement des éditeurs franco-canadiens (REFC) réunit seize maisons d’édition francophones du Nouveau-Brunswick, de l’Ontario, du Manitoba et de la Saskatchewan qui mènent ensemble des actions de promotion et de commercialisation au Québec, au Canada et sur les marchés étrangers. Le REFC fait également front commun sur le plan de la représentation politique et du développement professionnel de ses membres.
Cette année encore, plusieurs auteurs et autrices de partout au Canada seront présents pour des séances de dédicaces.
Les auteurs et autrices franco-canadiens seront présents dans les différents espaces du salon du livre à l’occasion d’activités organisées par le REFC et ses membres. Vous ne manquerez pas d’occasions de remplir votre carnet du visiteur!
Une foule d’activités pour découvrir les auteurs et autrices franco-canadiens
Cette année, le REFC célèbre ses trente ans d’existence. Pour l’occasion, le public est convié à la table ronde Des croisements d’auteurs : dialogue intergénérationnel animée par Alice Côté Dupuis. Les autrices de la relève, Marilyne Busque-Dubois et Véronique Sylvain seront invitées à parler de créateurs établis qu’ils respectent, et l’écrivain chevronné, Jean Boisjoli, mettra en valeur de jeunes auteurs prometteurs, avant de discuter ensemble des relations que les auteurs de différentes générations entretiennent entre eux, et des influences qu’ont ces différentes générations les unes sur les autres. Rendez-vous à L’Agora, le dimanche 24 novembre à 11h10.
Avec déjà 25 000 billets vendus pour son quatrième spectacle solo intitulé GROULX, l’humoriste fera un retour à Orléans alors que ses deux premières représentations les 13 et 14 décembre 2019 affichent presque complet.
Patrick Groulx est en nomination au Gala les Olivier qui se déroulera au début du mois de décembre pour le Spectacle de l’humour de l’année et Auteur de l’année / Spectacle d’humour. Après une pause de tournée de cinq ans (sa dernière Première remontait à 2011), ces nominations sont certainement la preuve que son retour aux sources dans ce 4e one-man-show démontrent un humoriste mûr et au sommet de son art.
Les billets sont en vente dès aujourd’hui, le 20 novembre 2019, pour les abonnées privilège du MIFO. Le grand public pourra se les procurer dès le vendredi 22 novembre 2019 à 10 h.